Fanny B3SI à l’ISSIG

ISSIG     mer. 04 avril 2018

Fanny, 21 ans, B3SI à l’ISSIG, souhaite devenir infirmière spécialisée en neonatalogie.

« J’ai toujours voulu faire ce métier.
Depuis mes 10 ans, je sais que je serai infirmière. »

Née prématurée, d’une mère infirmière, ce métier est une véritable vocation pour elle, une vraie passion. Pour se lancer dans ces études, il faut le vouloir, être assidu, motivé et dévoué. Il faut avant tout aimer le contact humain.

« Les étudiants ne doivent pas s’arrêter aux difficultés des premiers stages » affirme-t-elle. Il faut aller plus loin, aller vers les gens, aller à l’essence même du métier d’infirmier et ne pas oublier ses responsabilités. « Nous avons la santé et la vie des patients entre nos mains », et cette responsabilité la motive à étudier davantage afin de maîtriser tous les aspects des soins et faire face aux réalités professionnelles.

Cette réalité, les étudiants y sont souvent confrontés à l’ISSIG. Après 3 années d’étude, Fanny a déjà acquis une expérience variée grâce aux stages au sein d’unités diversifiées : gériatrie, psy, diabète soins intensifs… « C’est l’occasion de développer les compétences acquises en cours » souligne-t-elle.

Pour Fanny, ces stages sont un des avantages de l’ISSIG : ceux-ci sont, en effet, trouvés pour les étudiants et sont idéalement placés près de chez eux grâce aux nombreux partenaires de l’école. Elle tient tout de même à souligner aux futurs étudiants la difficulté des enchaînements horaires tôt-tard qui font partie intégrante des réalités professionnelles.

 

UN MÉTIER EN ÉVOLUTION CONSTANTE

Ce qui lui plaît, c’est le côté manuel et intellectuel, mais surtout l’aspect humain et l’évolution permanente de la profession. Il faut rester informé et continuer à se former tout au long de sa carrière.

Cette formation continue, c’est un des points forts de l’ISSIG. La formation initiale permet de développer l’esprit critique et d’être en accord avec l’évolution constante des pratiques de soins.

« L’ISSIG est une école exigeante mais c’est la meilleure école infirmière. »

 

ET APRÈS ?

Même si elle aimerait trouver une place d’infirmière à Bruxelles, Fanny souhaiterait partir un mois au Pérou ou en Afrique lors de sa spécialisation pour pouvoir expérimenter une autre approche des soins.